Bienvenue sur le nouveau forum des Descendants de l’humanité, se passant 1250 années après le précédent forum.

Les choses ont bien changé sur Terre depuis la première catastrophe nucléaires, une seconde catastrophe créé par l’éther a marqué l’histoire de façon drastique, réveillant d’ancienne entité qui n’auraient jamais dû se réveiller.

Rejoignez les derniers descendants, et écrivez votre histoire !

Une route parsemée d'embuches [ft. Aelita, Thaor et Gérald]
#1
Une route parsemée d'embuches
Avec : Aelita, Thaor et Gérald

Nous avançons en direction du marché, cela faisait 40 minutes que nous avancions, arrivé dans le centre ville là où le danger est le plus présent pour Aelita. Je repense à la lui passée avec elle, cela devait-être elle la plus dangereuse à ce moment là. J'aimerais lui exprimer mon envie de rester à ses côtés, j'y pense à chaque moment, elle me connait moins que moi je la connais et ce sentiment devrait nous être interdit, mais si ce sentiments est partagé, peut-être acceptera-t-elle de venir vivre avec moi une fois sa sœur sauvée. Je peux essayer de lui proposer pendant que nous marchons, le scientifique qui nous suit semble occupé par ce qu'il voit.

Dit, heu... Aelita ? J'ai repensé à ce qu'il s'est passé la nuit passée ensemble, je... j'aurais voulu savoir si, si jamais on retrouve ta sœur et qu'on l'a sauvé, après ça une fois libre tu voudrais bien venir vivre avec moi, ici ou à Terra selon si on réussi à faire changer les Anges d'avis ? La vie est moins bien ici, mais je ferais mon possible pour que tu te sente bien. Disons que ta présence avec moi a changé certaines choses, et je n'ai finalement plus envie de vivre seul chez moi.

Je regarde derrière voir si le scientifique nous écoute ou pas, il semble occupé. Nous nous arrêtons de marcher subitement, dans une ruelle nous apercevons un homme, plus brutal que les autres.
J'espère qu'il ne viendra pas nous importuner alors que nous essayons d'arriver au quartier stratégique où se trouve le chef.

Si jamais le chef accepte de te garder ici et t'autorise à partir quand tu veux, je te ferais venir chez moi pour te reposer, je ne reste jamais chez moi quand je suis en repos. Tu sera tranquille.

L'homme s'approche de notre petit comité, il est connu dans cette ville pour le bazar qu'il y cause. Il n'est pas avec sa bande, c'est étrange. J'attrape le bras d'Aelita et la fait passer de l'autre côté.

Surtout ne répond pas à sa provocation, lui on le connait bien ici, c'est un délinquant !

Je continu de regarder Aelita, faisant mine d'ignorer l'individu. Attendant une réponse de sa part avant d'être importuné.

© Theodor
#2


Une route parsemée d'embuches.
FT. Theodor, Thaor & Gérald



Nous avançons à pas de fourmis mais il fait une chaleur au point que j'en perde mes esprits. Je marche, tel un robot, suivant timidement les pas de Theodor. J'entends des bruits tout autour de moi et tout se mélange lorsque Theodor m'entraine à l'écart du convoi. Ses paroles me percutent et me ramènent à la réalité, à Mortifia.

Quoi ? dis-je tout bas. Je...

J'ordonne tout ce qu'il m'a dit alors que j'étais dans les vapes, alors que je pensais à tout autre chose. Je m'imaginais, rentrant à Terra, couverte de colère et de honte de la part de ma famille. Tôt ou tard, ils vont venir me chercher parce que je n'ai jamais dit que je partais, je n'ai jamais dit que je disparaissais quelques jours. Je marque un temps d'arrêt et je clique plusieurs fois des yeux, je comprends enfin ce dont me parle Theodor.

Je ne me suis pas encore posée la question car je n'avais pas pensé à un après. Tout ce à quoi j'ai pensé hier soir était l'instant présent. J'avais peur de l'avenir, peur de ce qui allait se passer. Je n'ai que très peu de temps ici avant que ma famille ne mène des recherches. L'après est incertain, mon avenir est si trouble. Je pourrais mourir en rentrant à Terra.

Je me tourne face à Theodor.

Theodor, je murmure. Je pourrais mourir en rentrant à Terra pour la simple et bonne raison que j'ai disparu depuis trop longtemps. S'ils n'ont pas encore lancé des recherches, ce sera probablement fait d'ici 2 jours.

Je tire le bras de Theodor pour nous mettre à l'écart de toute écoute. J'ancre mon regard dans le sien.

J'ai envie d'être libre, de vivre où bon me semble et accessoirement avec quelqu'un comme toi qui partage mes idées. Seulement, tu sais aussi bien que moi que les risques que j'ai pris jusqu'ici pour sauver Anna peuvent me conduire à la mort.

Je caresse son bras du bout de mes doigts et je baisse les yeux.

Ne t’attache pas trop à moi, ma mort n'en serait que plus douloureuse pour toi.

Nous nous regardons droit dans les yeux, mais nous sommes brusquement interrompus par un vacarme incessant. L'homme dont Theodor me parlait juste avant se hisse jusqu'à nous, curieux de tout, peut-être curieux de qui je suis. Les bannis n'ont pas l'habitude de voir une jolie rousse toute blanche apparaître par ici. Peut-être n'ai-je l'air que d'un potentiel trophée de chasse pour ce type qui me dévisage étrangement.

Le délinquant, j'imagine, dis-je d'un râle. Il porte bien son surnom.

Je ravale ma provocation difficilement et je reporte mon regard sur le scientifique qui erre près du convoi.

Code by Joy


“It’s love that makes you fight harder for what you want.”
#3

Une route parsemée d'embuches.

Avec Theodor, Thaor et Aelita

Nous étions en début d'après-midi, je décidai d'aller faire un petit tour sur le marché, l'heure était propice pour y faire de belles rencontres. Alors que je défilais d'étale en étale. Après avoir fait mon petit tour je pris la direction des ruelles pour aller voir mes amis. C'est sans compter de croiser un des gardes de la ville en charmant compagnie suivante par un autre homme. Il semble que ma présence dérange le garde. J'ai déjà eu affaire à certain lors de mes bagarres avec d'autres bandes de Mortifia mais lui ne me disait rien même si lui semblait bien me connaître, après tout il faut bien que je nourrisse ma réputation sinon je ferai un bien mauvais leader de bande. Je me dirigeai vers eux et commençai la conversation.

Comme ça on se promène dans les petites ruelles. Vous savez on ne sait jamais sur qui nous pouvons tomber dans ses petites ruelles. Je rajoute d'un air fier. Il semble que ma réputation me précède mais permettez-moi de modifier. Je me verrais plus comme un petit voyou samaritain qu'un vulgaire brigand qui brûle, vole et tue sans scrupules. Après tout si nous n'étions pas là pour faire le boulot des gardes la ville serai bien moins sur avec tous ses gredins qu'il y a en ville.

Puis je détourne mon regard vers la jeune demoiselle du groupe et l'observe sur toutes ses coutures.

Si je puis me permettre, vous êtes d'un charme mademoiselle, je m'y laisserai bien tenter. Et si je ne m'abuse de votre peau claire et votre chevelure m'indique que vous êtes tout juste arrivé à Mortifia, je vous souhaite donc la bienvenue dans cette charmante ville. C'est donc peut-être pour cela que ce garde se dirige discrètement vers le cœur de la ville. Rencontre oblige avec notre charmant chef. Je serai prudente à votre place. Il n'a guère bonne réputation.

Il semble que ma présence ne soit pas de l'appréciation du garde. Du moment qu'il ne me menace pas avec son arme je n'ai rien à craindre et puis je ne suis pas une menace. Puis je remarque un peu plus le troisième du groupe. Un homme de la trentaine qui semblait pas non plus venir de Mortifia et qu'il était plus entrain de rêver que de faire attention à ma présence. Alors que je fixe à nouveau le garde.

Vous pouvez toujours me confier la demoiselle, elle n'aura pas de soucis en ma compagnie et puis le Chef m'aime bien sinon je ne serai pas devant à cet instant. Je connais bien la ville et ses dangers et personne ne viendra l'embêter en ma présence vous pouvez en être sûr. Bien sûr l'homme qui est aussi avec vous peut venir.

Je reste face au petit groupe en attendant un réaction de l'un d'eux.


Code by Joy
#4

Une route parsemée d'embuches
Aelita | Theodor | Gérald

Je suivais le petit groupe auquel j'étais invité à marcher avec, pendant une halte de la femme et du garde dans une ruelle, j’observais le comportement des gens, ils ont une part d'humanité contrairement aux Anges, ils ne filent pas droit, ils parlent plus, certains s'aiment, d'autre se détestent. Je cherche ce qui pourrait ressembler à un médecin, une maison avec un signe distinctif qui aurait un petit laboratoire où je pourrais m'établir et aider ces gens, mais surtout les étudier. Qu'est ce qui a changé chez eux pour qu'ils soient différents ?

Je retour après des deux personnes que je suivais, ils semblent avoir fait la connaissance d'une troisième personne quelque peut arrogante à sa façon de parler.


Ho bonjour ! Vous ne venez quand même pas importuner ces jeunes gens !?


Je me met proche des deux personnes, elle s'appelait Aelita à ce que j'en avait entendu du garde mais lui je n'avais pas le nom, je n'ai pas souvenir qu'il me l'ai dit. Je me penche auprès d'eux.


Pourrais-je avoir au moins vos noms ? Ça me serait utile, je crois que vous c'est Aelita si j'ai bien entendu., dis-je en murmurant. Et auriez-vous l’amabilité une fois que nous reprendrons la route de me montrer l'endroit où vit votre médecin, vous devez bien avoir un médecin quelque part, il me faut un laboratoire pour quelques temps. J'ai besoin d'en apprendre plus sur ce qui vous rend différent des Anges.


Je m'éloigne d'eux et regarde l'autre homme présent, il ressemble aux jeunes qui réent des ennuis, ça me rappel des souvenirs de jeunesse, j'avais avec des amis balancé des ballons de peinture durant des vacances sur des gens comme lui. Je me souviens plus pourquoi mais ils avaient fait un truc de mal et ont reçu une sanction amusante. Mais je n'ai pas de ballon de peinture avec moi, en revanche j'ai le somnifère puissant que j'avais donné à Rey, si je le coupe avec de l'eau il aura une durée d'une heure mais ça nous laissera le temps de nous en aller si il nous gène. Mais je ne vais pas faire ça devant lui, il se douterait de la supercherie.

Je fais mine de l'ignorer et de vaquer à mes occupations.



THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix


THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.
#5
Une route parsemée d'embuches
Avec : Aelita, Thaor et Gérald

Ce qu'Aelita venait de me racconter ne me fesait ni chaud, ni froid, je n'avais pas peur de la perdre, j'étais prêt à courir le risque, jusqu'à sauver sa vie avant qu'elle ne se fasse tuer.
L'individu s'approche de nous et commence à faire son malin.

Gérald, si tu es ici pour me provoquer, tu va rejoindre t'es copain que j'ai envoyé la semaine dernière au trou pour perturbation sur la voie publique et dégradation de 4 stands de vendeur ! Toi et ta bande vous êtes tellement connu que j'en connais ton nom et ta tête rien qu'à partir d'un petit bout de papier. Et cette jeune femme n'a pas besoin de ton aide pour aller vois notre chef, dont tu dois le respect pour ne pas encore t'avoir viré de la ville.

Je me retourne vers Aelita et lui murmure.

Je n'ai pas peur de ce que tu me dis, je suis sur que tu te sentirais mieux accompagnée dans ton combat que seul, puisque j'ai la même façon de penser que toi, pourquoi ce compagnon ne serait pas moi ? Ça serait également un moyen pour moi de quitter Mortifia pour la première fois en très longtemps.

Thaor s'approche de nous et nous parle en chuchotant, je lui répond de la même manière.

Moi c'est Theodor, et oui je vous montrerai où ce trouve le médecin de la ville.

Je me retourne vers Aelita attendant de savoir ce qu'elle pense de ma proposition et essayant d'ignorer Gérald qui s'est beaucoup trop fait remarquer dans cette ville pour ne pas être reconnu par les gens. Quand on voit le regard des passants effrayés par sa présence on sent que ce qu'il fait n'est jamais très bien.

© Theodor
#6


Une route parsemée d'embuches.
FT. Theodor, Thaor & Gérald



J'esquisse un sourire en écoutant Theodor et je lève les yeux au ciel.

Tu connais les anges mieux que moi, je murmure. Tu sais qu'ils ne seraient pas tendres avec toi.

Je ne supporterais pas l'idée de débarquer à Terra avec Theodor pour qu'il devienne un prisonnier. Les bannis qui tentent de revenir de revenir à Terra ne font pas long feu et sont pour la plupart du temps, exécutés sans discussion. Néanmoins, je suis profondément touchée par la volonté de Theodor de ne pas me laisser mener mon combat seule. Je n'ai pas le temps de m'attendrir puisque l'inconnu volage devient de plus en plus insistant.

J'adresse un bref regard à Thaor.

Aelita, oui, juste Aelita.

Même si le scientifique sait que je viens directement de chez les anges, mieux vaut ne pas épiloguer sur qui je suis. N'importe qui me réduirait en poussière pour être celle que je suis. Je me tourne face au dit délinquant qui semble vouloir se vendre une bonne conduite face à un gardien colérique. Je souris intérieurement à ce combat de coq entre hommes. Ici ou ailleurs, les hommes sont les mêmes, après tout.

Je vous remercie pour votre proposition, hm Gérald c'est ça ? Je viens tout juste d'arriver et comme vous le voyez, le gardien s'est déjà porté volontaire pour m'accompagner. A l'occasion, pourquoi pas me montrer à quel point vous êtes un si bon samaritain.

J'avance de nouveau pour ne pas perdre plus de temps au milieu de ces tensions. Theodor n'aime pas Gérald et l'inverse semble se lire sur leurs deux visages. J'attrape Thaor par le bras pour l'entrainer vers l'avant afin que nous ne soyons pas tous les deux pris au milieu dans ce volcan masculin.
Code by Joy


“It’s love that makes you fight harder for what you want.”
#7

Une route parsemée d'embuches.

Avec Theodor, Thaor et Aelita

L'homme qui était légèrement en retraité et plutôt à observer tout s'avança vers moi pour m'interpeller. Il a peut-être peur que je vienne déranger nos 2 camarades mais il en était rien pourtant. Quant au garde il n'aimait guère mes remarques. J'essaye de me rappeler son nom après tout on se souvient toujours du nom des gardes que nous mettent au trou.

Attends laisse-moi réfléchir! c'est Tha... non, thaor? Euh non ! Theooooo! Theooo! Theodor ! Ah voilà ! Comment vas-tu mon ami? Tu sais cette histoire et pas tout à fait exacte car l'un des étales était à nous. Sans parler que la bande à Lugos a rappliqué comme à son habitude et a foutu son petit bordel. Nous n'avons fait que nous défendre. Et j'ai oublié il y avait aussi le stand de Bran et tu sais bien que c'est un voleur. Ces marchandises devraient être saisi après il a fait venir ses gags lui aussi et là c'est parti en cacahuète tout simplement. Après comment tu vas faire si tu croises Lugos et ses gags? Tu sais très bien qu'il déteste les gardes mais qu'il est le chien du chef. Et surtout en si charmante compagnie tu ne feras pas long feu tout seul.

Alors que je voulais continuer la conversation, la jeune femme m'adressa la parole. Elle me remercie de ma proposition et fait route avec les 2 compagnons sans même attendre plus longtemps. Je les suis en arrière tout en continuant la conversation.


Pourquoi vous presser à ce point. Vous avez encore du temps devant vous. Je ne vous veux aucuns mal. Vous savez Mortifia est une belle ville, elle a tout son charme quand on sait ou aller. Mais vous devriez faire attention je ne passerai pas par là à votre place.

Alors qu'ils continuent leurs marches. Une explosion retenti! Elle se situait très proche de là ou nous sommes. Le groupe se hâte vers la zone.  ils finissent face à 2 membre du gang de Lugos la brute.

Je vous avais prévenu. Maintenant on va pouvoir s'amuser. Je m'adresse alors à deux gaillards qui nous font face.  Alors encore entrain de faire n'importe quoi ! Vous pouvez pas retour auprès de votre borgne au lieu de voler les gens !

L'un d'eux s'adresse à moi.

Tiens donc Gerald ! Tu tombes bien on commençait à s'ennuyer et puis il faut bien que quelqu'un porte le chapeau quand les gardes vont arriver.

Je réplique.

C'est bien votre genre de me faire porter le coup. Allez venez donc voir comment je m'appel !

Je me lance alors sur l'un d'eux et porte un coup au visage. La bagarre éclate.


Code by Joy
#8

Une route parsemée d'embuches
Aelita | Theodor | Gérald

Aelita m'attrape par le bras et m’emmène loin des deux autres qui étaient prêt à se battre, pour affirmer leur puissance peut-être ? C'est surement le côté Ange qui ressurgit. Mais je ne comprend pas cette action d'Aelita, elle qui déteste les scientifique..


Pourquoi emmenez-vous avez vous ? Je croyais que vous n'aimiez pas les scientifiques.


Tout d'un coup une explosion se fait entendre, impossible de savoir d'où cela venait, nous nous étions jetés à terre.


Tu parle d'une ville paisible, moi j'appel pas ça paisible !


Je m'exclame à haute vois, et je vois un groupe d'individu face à nous, j'aide à relever Aelita et nous sommes rejoint par Theodor quelques secondes après.
Je n'ai pas vu ce qu'il s'est passé mais l'individu venu nous déranger précédemment venait de changer de cible. Pour ses ennuies, que faire si ils nous bloquent la route vers là où l'on nous emmène.



THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix


THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.
#9
Une route parsemée d'embuches
Avec : Aelita, Thaor et Gérald

J'entend une explosion, je me dépêche d'aller dans la rue et de rejoindre Aelita et Thaor, le délinquant va voir ce qu'il s'est passé et fait face à un autre gang de la ville. Je m'approche des deux personnes que j'escortais.

Vous allez bien ? Tobias, Aelita, rien de cassé ?

Je vois les rivaux entrains de s'échauffer par quelques provocation habituelles. Seul je ne peu rien faire, mais avec leur explosion dans deux minutes mes collègues vont rappliquer.

Venez, on va se mettre à l'abris dans cette maison.

J'attrape Thaor et Aelita et les emmènent dans une maison voisine à la rue. Ici nous seront en sécurité le temps que mes collègue arrivent, et ça évitera aux deux de se faire tuer, Aelita semble avoir les larmes aux yeux mais ne dis rien, et Thaor regarde à l'extérieur pour voir ce qu'il se passe.

Aelita, ça va ? Qu'est ce qu'il y a ?

Je la vois se retenir de crier, et de pleurer, elle a dû se faire mal mais ne veut rien dire. Je me retourne vers le scientifique et lui dit.

Venez par là, je crois qu'elle s'est faite mal mais elle ne veut pas parler. Vous vous y connaissez en soins puisque vous voulez aller vous installer chez le médecin de la ville, je vous laisse l'aider, je surveille les autres !

Je me poste à l'entrée, arme en main de chargée et prête à tirer, si jamais les instigateurs de l'explosion venaient à nous déranger, je les accueillerais à ma manière.

© Theodor
#10


Une route parsemée d'embuches.
FT. Theodor, Thaor & Gérald



Alors que je m'apprête à répondre au scientifique qu'il est ma seule solution pour sauver ma petite sœur et que j'ai besoin de lui vivant, tout comme il a besoin de moi vivante pour connaître les projets des anges, je suis violemment projetée à terre. L'explosion me brise de l'intérieur, faisant tournoyer mes souvenirs dans tous les sens. J'ai mal, mais je ne sais pas où. Je suis perdue alors que mon cerveau bride images du passé et images du présent. Une bataille, des explosions, des cris, tout ça me revient violemment en tête. Qu'est-ce que c'est ?

Je suis trainée à droite et à gauche, complètement perdue. Je réalise que je suis encore vivante une fois que je me trouve sur une chaise, le scientifique face à moi. Je le toise du regard et je grimace.

Je...

Les flashs du passés m'aveuglent à nouveau mais je les tiens à distance afin de m'assurer que le présent reste ici et que le passé ne me revienne pas au visage. Je me secoue la tête et j'essuie les larmes qui perlent sur mon visage.

Je vais bien, dis-je à Thaor. Je suis juste un peu chamboulée. Ne bougez pas d'ici, c'est trop dangereux.

Je me lève d'un bond et je cours en direction de Thaor. Je le dépasse pour pouvoir jeter un œil sur le combat qui se déroule entre les deux hommes. Les coups partent dans tous les sens et je grimace en voyant tout ce sang au sol. Je m'avance d'avantage de manière à n'être plus qu'à quelques pas des deux combattants. Je les toise du regard alors que j'entends Theor qui cri mon nom. Surgit alors, d'autres personnes du même gang que l'adversaire du délinquant, Gérald. Ils se dressent tous les trois devant moi et je me raidis.

Toi ! hurle l'un des membres du gang. Occupe toi de Gérald.

L'autre membre du gang se tourne alors vers moi et les regards de deux des trois voyous m'observent.

Emmène la fille, gronde l'homme. C'est probablement la copine de Gérald, ça lui fera une bonne jambe !

Je recule d'un pas, puis un autre. Je n'ai pas le temps de réagir plus vite que mon ombre. Je tourne le dos aux deux hommes et je tends le bras vers Theodor mais il est trop tard. Deux bras se ferment autour de ma taille et je hurle telle une hystérique. Je me débats violemment dans tous les sens mais des coups de feux commencent à s'échanger. Je suis trainée de droite à gauche, secouée alors que les mains de mon agresseurs me maintiennent contre lui.

Ne me touchez pas !
je crie.

Je suis trainée alors que j'entrevois Theodor au loin. Une autre explosion nous sépare et je suis balancée dans de nouveaux bras, beaucoup plus violent et oppressant. Mes oreilles sifflent, je ne comprends plus rien à ce qui se passe.
Code by Joy


“It’s love that makes you fight harder for what you want.”




Utilisateur(s) parcourant ce sujet :