Confidences à deux.

[Frejalla Heres]

Confidences à deux. FT. Theodor.

Nous pénétrons dans le petit appartement de Theodor où il fait déjà beaucoup plus frais que la petite cabane où nous avons passé notre première nuit. Theodor me porte comme une princesse et je ris à cette pensée puisque où que je sois, je suis traitée comme telle. Theodor me dépose au sol et je balaye du regard la pièce. C'est mignon chez toi, beaucoup mieux que dans la cabane. Je titube de droite à gauche pour pouvoir m'asseoir sur un canapé. Je repose mon esprit alors que Theodor s'active de droite à gauche, s'activant à ranger rapidement son appartement mais je me fiche pas mal du bazar ou de la propreté de l'appartement. J'ai simplement besoin d'un peu de repos. Theodor, viens. Je captive enfin son attention lorsque je tente de me relever et que je tombe à la renverse sur le canapé. Il vient vers moi et j'emprisonne son visage entre mes mains. Je pose mon front contre le sien et je pousse un long soupir. Jamais personne ne s'est autant soucié de moi, à part toi. Même ma mère, mon père, peu importe, ils ne ressentent pas la peur ou la compassion. C'est différent, avec toi. Je me laisse tomber en arrière sur le canapé, fatiguée et lessivée d'avoir frôlé la mort.

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[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Je m'affaire à ranger les quelques boîtes qui trainaient au sol lorsque Aelita m'interpelle. Je m'approche d'elle et l'écoute de sa douce voix. Elle se laisse tomber sur le canapé de fortune de j'avais. Je m'assois à côté d'elle en travers de manière à être un minimum face à elle.

Ils ne peuvent pas ressentir les mêmes choses que toi, moi je peux les ressentir,tout à l'heure sur la table avant que tu ne lâche prise à cause de la douleur tu as prononcé mon nom, nous avons tous deux une pensée commune pour l'autre. Je n'avais jamais vécu ça avant de t'avoir rencontré.

Je me rapproche d'Aelita, et la prend dans mes bras. Je caresse son bras et réchauffe son corps refroidit par la baisse de circulation de son sang quand elle avait perdu connaissance.

Tu te sens mieux ou tu préfèrerais aller dans mon lit te reposer ? Il commence à se faire tard depuis notre escapade en ville, je vais te préparer un truc à manger, tu te sentiras mieux.

Sans qu'Aelita ne réponde à ma question, je la reprend dans mes bras et l'amène dans ma chambre, je la pose sur mon lit.

Repose toi, je t'amène de quoi manger, je dormirais sur le canapé, un grand lit pour toi, quand dis-tu ?

Je suis bête de ne pas lui proposer de dormir avec elle, mais je préfèrerais qu'elle me le demande par elle même, c'est elle mon invitée après tout. Nous avons la chance de toujours finir collés l'un à l'autre, si cette chance reste avec nous, elle voudra me remercier de l'accueil en m'autorisant à venir près d'elle.

© Theodor

[Frejalla Heres]

Confidences à deux. FT. Theodor.

Theodor a raison, pour une raison que nous ignorons tous les deux, quelque chose nous a lié dès l'instant où nous nous sommes croisés. La nuit que nous avons passés ensemble et les jours qui ont suivi n'ont fait que confirmer cette relation très étrange s'installant entre nous. Je ne saurais la qualifier, car je pense que nous sommes décidés à prendre notre temps, à nous découvrir et à apprendre à connaître nos âmes. Je me retrouve dans le grand lit de Theodor, il est si douillé et si gigantesque. Je me laisse tomber sur le dos et je pousse un long soupir. Mes yeux se posent sur le plafond légèrement tâché et lorsque Theodor revient avec de quoi manger, mes papilles s'agitent dans tous les sens. Depuis combien de temps n'ai-je rien avalé de consistant ? Je me demande depuis quand je n'ai pas mangé un vrai repas, dis-je en me mordillant les lèvres. Je prends timidement à manger dans une petite assiette. Nous mangeons tous les deux, assis sur le lit et nous regardant dans le blanc des yeux. Je dévore mon plat et j'ai l'impression que mon ventre organise une fête au fin fond de mon corps. J'avais si faim ! Je pose mon assiette sur le plateau une fois terminée et j'avale un grand verre d'eau. Ce repas est de loin le meilleur que j'ai mangé, même si j'ai gouté des centaines de fois à la bonne cuisine de Terra. Tu cuisines vraiment bien et c'est fait avec douceur, j'aime beaucoup. Je souris à Theodor et je m'empare du plateau. Je le pose sur la table de chevet et je me blottis contre mon cher et tendre gardien. Je ne me pose pas trop de questions et je n'ai plus envie de réfléchir ou de me prendre la tête. Tu peux rester dormir avec moi, tu sais. Je pense que nous n'en sommes plus au stade où je suis censée avoir peur de toi. Je souris timidement, repensant à cette folle nuit que nous avons passés tous les deux il y a peu. Je chasse ces images de ma tête au risque de rapidement me laisser submerger par des sensations bien trop enivrantes. Je reste blottis contre le gardien, mon cœur battant lentement comme s'il se reposait de tous ces évènements.

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[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Je serre Aelita dans mes bras, je glisse une main dans son dos et la caresse lentement.

Très bien, je reste avec toi.

Je sens la tête d'Aelita qui se colle à mon torse et sa main aussi. Comme si elle voulait entendre le battement de mon cœur et le ressentir. Je sentais sa respiration, je frissonnai à chaque expiration sur ma peau, mon corps était tellement chaud que son souffle était glacial. Je passe ma main sous le t-shirt que je lui avait donné et longe avec deux doigts sa colonne vertébrale, je faisais des allés et retour avec ma main plus chaude qu'Aelita.

Disons que... comment dire... si je prend tant soins de toi ce n'est pas pour t'impressionner, même si ça a eu cet effet, je sais pas j'ai l'impression que la nuit que nous avons vécu a changé une chose en toi mais aussi en moi. Je ne saurais te décrire...

Je m'interromps et cherche ce qui nous lie tellement, serais-je tombé amoureux d'elle ? Possiblement, j'en ai toutes les sensations, toutes les envies.

Mais ce que je ressent reste extraordinaire, je sais pas si ça...

Je suis soudainement interrompu par Aelita qui remonte le long de mon corps pour être face à moi, son doigt posé sur mes lèvres, elle me regarde, retire son doigt et m'embrasse sans que je puisse finir ma phrase. Mes deux mains étaient sur son dos et faisaient comme un massage sur sa peau, ça soulevait son t-shirt mais ne gênait pas plus Aelita.

© Theodor

[Frejalla Heres]

Confidences à deux. FT. Theodor.

Je sais ce qu'il ressent car tout comme moi, je ne sais l'expliquer. La différence, c'est que je n'essaie plus d'y réfléchir ou de comprendre. Nous nous sommes rencontrés, découvert et nous avons brûlé pas mal d'étape, mais ce n'est pas un problème. Nous avons tout notre temps, jusqu'à ce que je rentre à Terra. J'embrasse Theodor avec douceur, goutant ses lèvres avec curiosité comme si je les découvrais à chaque instant. Je coupe court à notre baiser et je lui souris. Ne te prends pas la tête, ne réfléchis pas. Il n'y a pas besoin d'y réfléchir, tu le sais aussi bien que moi. Profitons de l'instant présent, qu'il dure ou ne dure pas peu importe. Je l'embrasse plus avidement, glissant mes mains dans ses cheveux. Je marque un temps d'arrêt et j'ancre mon regard dans le sien. Je caresse sa joue du revers de ma main et je baisse les yeux. Aujourd'hui, tout aurait pu arriver, je murmure. J'aurais pu mourir, toi aussi. Nous ne sommes à l’abri de rien et c'est ce qui fait que je n'ai simplement pas envie de penser, ni à l'avenir ni à quoi que ce soit. Ce que je sais c'est que pour l'instant, je me trouve avec toi et que je me sens bien. Peut-être que ça ne durera pas, peut-être que je mourrais en allant à Terra ou que tu mourras pour je ne sais quelle raison à cause de ces espèces de crétins que nous avons vus dans les rues. Ce n'est pas grave. Je mordille les lèvres de Theodor et je lui souris timidement. Je me souviens d'un vieille ouvrage lu chez les anges et je ne peux m'empêcher de le citer. C'est un vieux livre, d'une très lointaine période humaine. Ce n'est pas grave, parce que tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse. Je dépose un baiser sur son front et je ravale la douce émotion qui titille mon cœur, la peur du lendemain, la peur de devoir mourir ou que quelque chose arrive.

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[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Nous continuons de nous entre-lasser et de nous embrasser. Profitant à chaque instant de cette tranquillité que nous avions. Nous ressemblions plus à un couple qu'à deux amis, mais il doit être vrai quelque part que notre liaison était plus d'amicale.
Je nous retourne et passe au dessus d'Aelita qui se met à rire.

Qui a-t-il de si drôle ?, dis-je en murmurant.

Je lui dépose de tout petit baiser dans son cou en redescendant jusqu'à l'épaule, puis je l'embrasse de nouveau.
Notre petit moment à nous embrasser fut perturbé par un bruit fracassant. Deux coup, trois coups, deux coups, c'était un de mes collègue qui venait me donner des informations.

Surtout tu ne bouge pas de là, je reviens, ne fait aucun bruit.

Je me dépêche d'aller ouvrir pour savoir ce qu'il y avait. Deux de mes collègues étaient à la porte.

Oui ? Que ce passe-t-il ?, dis-je d'un air étonné.
On diffuse des avis de recherche à la demande du chef, je pense que le nom de sera familier, la fille de la personne qui nous a foutu dans se trou a disparu. Tiens voilà la fiche.
Il était énervé quand il a demandé à notre chef de faire paraitre l'avis ?
Non comme d'habitude, froid et non émotif, ça n'avait pas l'air de l'affoler.
Très bien, je garde cette feuille, ça me sera peut-être utile quand je reprendrais, la garde, à plus tard les gars.

Je ferme la porte à double tour et retour auprès d'Aelita, je sentais qu'elle était effrayée à l'idée que je puisse changer d'avis et finalement la livrer à son père pour obtenir une récompense. Mais loin de là l'idée, j'avais trop de sentiments pour elle pour faire ce genre de chose.

Toute la ville sait que tu as disparu, il va falloir faire dans la discrétion demain, ne t'inquiète pas, je ne te livrerais pas, disons que je tiens beaucoup trop à toi pour faire ce genre de chose, et je suis sur que tu comprends mon refus de te livrer à ton père. Comme tu le dis, profitons de cet instant présent entre nous deux, profitons en au maximum possible s'il le faut, et si tu le veux bien.

Je dégage l'une de ses mèches folles en même temps que je finissait ma phrase. Je la fixe du regard et profite un maximum de ce moment pour l'observer. Attendant de connaitre le fond de sa pensée et de ses envies encore très changeantes car elle ne contrôle pas totalement sa nouvelle identités.

© Theodor

[Frejalla Heres]

Confidences à deux. FT. Theodor.

La peur d'être retrouvée m’envahis, mais surtout la peur que ma famille me considère comme morte, disparue. Peut-être qu'Anna ne pourra le supporter, peut-être que ma mère ne saura la protéger. Je n'aurais pas du partir autant de temps mais maintenant que je suis ici, je n'arrive pas à me décider à partir. Je n'en ai plus envie, mais mon cœur me supplie de retourner à Terra pour sauver Anna. Je me lève du lit et je me glisse timidement dans les bras de Theodor lorsqu'il revient. Je pousse un long soupir et je chasse ces idées tristes de ma tête. Tôt ou tard, il va me falloir quitter Mortifia, que j'en ai envie, ou non. Cette idée me rend triste et creuse un immense gouffre dans ma poitrine. Je recule d'un pas et je mémorise les traits de visage de Theodor, comme si je les voyais pour la dernière fois. Je vais devoir retourner à Terra, je soupire. Au moins pour donner un signe de vie, inventer une histoire, je n'en sais rien. Je reviendrais, quoi qu'il arrive. Je caresse la joue de Theodor et je lui souris tristement. Tu m'attendras, n'est-ce pas ? Je crois que mon cœur ne supporterait pas l'idée que Theodor s'en aille, que je ne trouve plus rien à Mortifia que le chaos et la détresse. Pire, je ne supporterais qu'il pose ses mains ailleurs que sur moi. Je me sens prise entre deux feux. Je ne sais pas encore ce que je pourrais inventer, ni même imaginer. Je ne peux décemment pas inclure Theodor ou Mortifia dans mon récit au risque de les mettre en danger. Comment réussir à mentir face à ma famille, face à mon père aussi intransigeant qu'il l'est ? Je vais devoir me creuser l'esprit. Si je ne réussis pas à les faire changer d'avis, je reviendrais ici. J'obligerais Anna à quitter Terra car elle n'a pas la moindre chance de survivre là-bas. Peut-être que je ne pourrais pas revenir, peut-être que mon père m'enferma dans une tour, va savoir. Je refuse de vivre là-bas, enchainée, sans toi et sous... Je lève la tête pour croiser le regard de Theodor. Sous cette dictature, j'ajoute. Parce que c'est ce que Terra est. Je me blottie à nouveau contre Theodor, la peur gagnant mon cœur.

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[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Aelita se blotti contre moi, je la serre comme si je ne voulais jamais me séparer d'elle. Je la fait basculer sur le lit et me retrouver sur elle, en tête à tête, à nous regarder au plus profond de nos pensés les plus intimes.

Ne fait pas une chose seule que tu pourrais regretter, laisse moi venir avec toi. Je connais un passage à Terra où les gardes ne s'aventures jamais. Je n'ai pas peur d'être pris, je ne veux pas que toi tu le sois.

J'offre mon plus beau sourire au regard d'Aelita, je passe mes doigts entre les siens.

Te toucher, te sentir. Être capable de prendre ta main maintenant. Tu sais ce que cela signifie pour moi ? C'est un grand bonheur que je souhaite partager avec toi, et c'est pour ça que je veux venir avec toi.

Sans en dire plus et avant d'avoir le moindre mot d'Aelita, je l'embrasse lui témoignant mes sentiments les plus profond pour elle. Elle s'inquiétait beaucoup pour sa sœur, j'avais dis que je l'aiderai et c'est ce que je vais faire, qu'elle le veuille ou non, je viendrais avec elle à Terra.

© Theodor

[Frejalla Heres]

Confidences à deux. FT. Theodor.

Je fais la moue devant les sentiments de Theodor et lorsqu'il m'embrasse, je me laisse faire. Je ne peux pas lutter contre mes sentiments, contre ce que je ressens pour lui et contre ce lien qui nous unit. Je voudrais rester ici, passer des heures et des jours avec lui sans me soucier de ce qui peut bien se passer à Terra mais c'est beaucoup plus compliqué que ça. Je ne peux pas le laisser prendre ce risque, pas pour moi, pas à cause de moi. Je pose mes deux mains sur son torse et je coupe court à notre baiser. Je le regarde droit dans les yeux, le visage traversé par une tristesse profondément ancrée dans mon cœur. Non, Theodor, je ne peux pas te laisser faire ça. Je me redresse en me faufilant sur le côté et je fais les cents pas dans la pièce. Je ravale les larmes qui ruissellent sur mes joues et je fais face à Theodor, luttant contre mes démons intérieurs. Je peux rentrer à Terra par la porte principale sans qu'il m'arrive quoi que ce soit, pas toi. Même si tu connais un chemin, je pourrais mettre des jours pour pouvoir sortir de la maison de mes parents. Tu ne peux pas venir, tu ne peux pas prendre le risque d'être pris parce que je ne pourrais rien pour toi. Je ne pourrais ni te sauver, ni te protéger. Je me laisse tomber sur le lit et j'enfouis mon visage entre mes mains. Mes émotions me tourment mais je sais que je ne supporterais pas l'idée qu'il arrive quelque chose à Theodor. Je tourne la tête vers lui. O.K, faisons un deal. Je sais que tu ne me laisseras pas partir seule, mais tu ne peux pas venir à Terra, tu ne peux pas prendre ce risque. Accompagne moi jusque là-bas et attends moi en dehors de Terra. C'est tout ce que je peux accepter. Je le supplie du regard, je ne pourrais pas rentrer dans Terra si je sais qu'il prend le risque de se faire prendre et de ne jamais pouvoir sortir vivant de cet enfer. Je m'approche d'un geste vers Theodor et je caresse sa joue, je fais la moue et je baisse les yeux. Je suis désolée de t'apporter mes problèmes, je soupire. Tu aurais été heureux si tu m'avais foutu à la porte dès le jour où je suis arrivée ici. A croire que je ne sème que la terreur et le désespoir. Je me lève du lit et je me poste devant une fenêtre, les bras croisés. Je peux sentir que quelque chose se prépare à Terra, je murmure. Quelque chose de terrible. Comme quelque chose qui pourrait nous détruire, nous tous, les anges.

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[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Je m'approche d'Aelita et pose mes mains sur ses joues humides, je sèche ses larmes avec mes pouces.

Aelita, ne te tourmente pas ainsi. Je ne jète pas les gens sans raison, et tu avais toutes les raisons de rester ici pour trouver t'es réponses. Sans ça nous ne nous saurions jamais rencontré. Tu imagine avoir été renvoyé chez les Anges par les gardes de Mortifia, tu ne serais pas rentrée comme tu peux actuellement grâce à moi.

J'encre mon regard dans le sien, profitant de chaque instant avec elle, essayant de consoler son chagrin soudain, elle devait vraiment s'inquiéter pour sa sœur, mais je ne pouvais rien faire à par essayer de lui faire penser à autre chose.

Viens dans mes bras, viens donc te reposer, avec ce qu'il t'es arrivé aujourd'hui tu en a bien besoins.

Je retire lentement le t-shirt d'Aelita et relâche sa ceinture, je fais de même devant elle. Nous nous retrouvons tous deux en sous-vêtements, je la serre dans mes bras avant de la soulever et la déposer sur le lit. Je me couche à côté d'elle. Elle se tourne face à moi, je lui souris avant de déposer un baiser sur son front.

Repose toi, demain je t'emmènerais voir le chef comme je te l'avais dis et ensuite je viendrais avec toi à Terra. Je ne t'attendrais pas dehors, tu me demande quand même de patienter plus de 48h auprès d'une zone surveillée. Non j'irais par mon passage pour te rejoindre, je ferais de mon mieux pour ne pas me faire prendre. Mais surtout, on reste ensemble quoi qu'il arrive.

Je passe ma main dans ses cheveux et descend lentement le long de son corps, je m'arrête à sa taille, glisse sur son ventre pour essayer de la faire rire.

© Theodor