Bienvenue sur le nouveau forum des Descendants de l’humanité, se passant 1250 années après le précédent forum.
Les choses ont bien changé sur Terre depuis la première catastrophe nucléaires, une seconde catastrophe créé par l’éther a marqué l’histoire de façon drastique, réveillant d’ancienne entité qui n’auraient jamais dû se réveiller.
Rejoignez les derniers descendants, et écrivez votre histoire !
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
Je toise mon reflet à travers le miroir qui surplombe ma chambre d'hôtel. J'essaie de ne pas me poser mille et unes questions, mais ce n'est pas aisé. Je devrais être concentrée sur le combat qui m'attend, mais ça n'est en rien facile avec ce corps torturé qui bat comme un fou, dans ma poitrine.
Je n'ai pas vu Thaor depuis trois jours et je ne pense pas le revoir de si tôt. Nous prenons petit à petit des chemins différents, des voies qui opposent tous les deux, qui nous divisent et nous éloignent. Je ne peux pas envisager l'idée de vivre recluse, enfermée toute ma vie alors qu'elle est déjà si courte. Malgré que mes sentiments pour lui n'aient jamais été aussi forts, nos différences ont gagné la bataille. Je ne pensais pas que Thaor disparaîtrait sans même avoir pensé à me soutenir une seule fois, je ne pensais pas une seule seconde qu'après m'avoir sauvé la vie, il déciderait de ne plus avancer à mes côtés. J'accepte son choix et malgré le cri de mon cœur, je ne retournerai pas vers Thaor. Il a décidément de me laisser tomber, de laisser tomber ce qui reste des gens courageux, je ne reculerai plus. Mon cœur abandonne Thaor, pour le meilleur, et pour le pire, tournant la page sur ce qui fut, le temps le plus précieux de ma vie.
J'enfile mon armure préparée spécialement par Darinn. Je dévisage l'éternel reflet qui m'est présenté parce que je ne le supporte plus et j'enfile mes derniers équipements. Je dresse mon arc dans mon dos et j'enfonce la dague dans mes bottes. Je tourne les talons et je quitte la chambre sans un regard puisque je ne reviendrais pas ici. Si je survis, je prendrais les appartements du chef, si je meurs, nul doute que mon corps ait besoin de vivre ici. Je n'oublie pas la lettre écrite pour Darinn que je glisse dans ma poche.
Je me suis levée bien plus tôt que prévu de manière à pouvoir observer le levé du soleil. Je passe déposer la lettre pour Darinn aux pieds de sa porte alors que je me souviens encore avec quelle émotion j'ai pu écrire ces quelques mots.
Darinn, mon ami,
J'espère que ces mots seront pas les derniers que je puisse t'adresser.
Sache que tu as été le plus fidèle et le plus courageux de mes amis jusqu'à ce jour.
Sois fier de ton parcours comme je suis fière t'avoir croisé ton chemin.
R.
PS : Si je viens à mourir, emmène moi dans les montagnes. Brûle mon corps et dépose mes cendres du plus grand sommet que tu pourras atteindre. A bientôt mon ami.
Je quitte le couloir qui mène à la chambre de Darinn et je vais me poser sur une petite colline pour observer le lent réveil du soleil. Il est lent, mais si merveilleux et je ne perds pas une miette du spectacle. Je me sens épanouie et sereine face à cette vision mais j'imagine un avenir, un avenir incertain que je pourrais avoir si je n'allais pas à ce duel, si je décidais d'être complètement libre et dépourvu de responsabilités. Je pourrais me balader, vivre en montagne, respirer l'air frais. Je pourrais être moi.
Je quitte la colline et je me dirige droit vers le centre stratégique. On ne me laisse pas passer, mais je m'impose rapidement et je gagne la salle du trône où j'attends patiemment l'arrivée du chef actuel, Michael Brown.
A son entrée dans la salle, je tourne sur moi-même et je pose le regard sur lui. Il est vêtu de son armure, épée à la main et je comprends déjà où tout cela va nous mener.
Je n'échapperai pas à mon combat.
Et encore moins à mon destin.
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
En suivant le chemin menant à l'arène qui sert au défis du chef en place, nous traversons les quartiers du chef actuel et je n'ose imaginer à quel point ce type s'enrichit depuis des années sur sa population qui vit dans la misère. J'ai vécu dans la misère pour savoir que Michael Brown profite pleinement de l'argent qu'il taxe sur les citoyens de Mortifia. Cela me pousse encore plus à ne pas reculer.
Les sirènes retentissent dans Mortifia, c'est le son du défis, le gong qui annonce la réunion de tous les citoyens qui le souhaitent dans l'arène. Je déglutis, mais je ne recule jamais et je me contente de rester silencieuse et d'avancer coûte que coûte. Je serre les poings et je marche d'un pas déterminé.
Je m'approche de l'entrée mais elle m'est d'abord refusée. Dans l'arène, les citoyens prennent place et j'entrevois Michael brown qui tient un discours sur la jeune femme l'ayant défiée, jeune femme que tous connaissent. Il fait un discours politique sur ce qu'il fait, ce qui est très peu et tente tant bien que mal de justifier sa cause. Je me rends compte que le public n'est majoritairement pas satisfait et je me dis qu'il a matière à faire.
C'est donc à mon tour de pénétrer dans l'arène. Elle est grande, spacieuse. Il y a de longues bandes de sables sur lesquelles il est possible de se battre mais l'arène est également entourée d'eau. Une eau si propre qu'elle pourrait servir à des millions de gens pour boire, pour préparer à manger. Je foudroie le chef du regard et je monte sur l'estrade. Je me tourne face au public et je me sens tout à coup paralysée par la peur. Je n'ai jamais su quoi dire, je n'ai jamais su parler aux gens ou les rassembler. Je ne peux qu'être moi, mais être moi leur plaira-t-il ? Je suis perdue, mais je prends une profonde inspiration.
Je m'appelle Rey Prayer, dis-je à voix haute. Je défie votre chef, Michael Brown, parce que...
Pourquoi ? Comment ? Dans quel but ? Toutes ces questions se chamboulent dans ma tête et je me perds. Tous les regards sont tournés vers moi et je me ridiculise parce que je ne sais quoi dire, ni comment l'exprimer. Je m'imagine être face à Thaor et j'ai un sourire stupide que je me maudis d'avoir. Thaor n'est plus là, Thaor s'est lassé. Je ferme les yeux et je m'imagine lui récitant tout un discours, lui qui ne m'a jamais jugé.
Je ne prétends pas pouvoir mieux faire ! dis-je fermement. Je ne sais pas ce qu'est de gouverner et je n'aime pas ça. Je ne veux pas vous diriger, je veux marcher à vos côtés. Je souhaite vous apporter le bonheur et la chance auquel vous aspirez tous. Je ne suis pas votre chef, Michael Brown, je ne profite pas de vos richesses pour me construire un palais doré !
Je me tourne face au chef actuel et je le dévisage de haut en bas.
Moi, Rey Prayer, je vous offrirais toutes les richesses que cet homme détourne depuis des années. Avec moi, vous pourrez manger à votre faim, vous n'aurez jamais crainte pour la vie de vos enfants et l'avenir de votre famille.
Je me tourne à nouveau face au public.
Mais, croyez-moi, une menace plus lourde pèse sur Mortifia, bien plus que cet homme qui vous vole. Les anges sont prêts à affronter chaque banni qui se trouvera sur son chemin. Que pouvons-nous faire ? C'est cela la question que je me pose tous les jours.
La lumière du soleil m'aveugle et je ne puis discerner aucun visage dans le public.
Nous battre ! je réplique. Nous battre avec nos armes, que sont le courage et la foi. Nous ne sommes pas des bannis, nous ne sommes pas des hybrides, nous sommes un peuple unis, nous sommes Mortifia !
Je prends une profonde inspiration.
Je ferais construire un dôme identique à Terra avec les moyens dont nous disposons, nos bras, notre courage et nos espoirs. Nous améliorerons la qualité de l'air et de la qualité de vie de Mortifia. Nous le pouvons, mais nous ne nous en sentons pas capables parce que rien n'a été fait depuis ces dix dernières années. Cet homme que vous avez actuellement au pouvoir est incapable de nous mener à la victoire face à Terra !
Je le regarde d'un air mauvais alors que le public commence à murmurer mon nom. S'il n'est pas idiot, il abattra ses dernières cartes mais il ne me mènera pas jusqu'au duel. Je suis si proche des populations depuis mon enfance alors que lui, a toujours vécu dans la richesse et la distance.
Terra ne vaincre jamais nos espoirs et notre courage. Terra veut nous détruire parce que nous sommes les descendants de l'humanité, parce que nous avons un cœur et du courage ! Sachez que je reviens de Terra et que je n'y ai vu que colère et détermination dans le but de détruire et d'obtenir tout ce qui pourrait nous détruire nous, l'espoir, l'espoir de l'humanité toute entière.
Je prends une profonde inspiration alors que mon cœur se met à battre la chamade.
Terra ne doit pas être détruit ! je crie. Terra est une ville assaillit de meneur idolâtre d'un temps révolu. Nous sommes tous anges, quoi qu'il en soit, que nous soyons humains, hybrides ou bannis, nous sommes tous citoyens du monde et ce monde, nous appartient, à chacun d'entre nous !
Je lève enfin les yeux vers la population face à moi alors que j'en reconnais certains, d'autres me sont totalement inconnus. Je balaye la salle du regard alors que mon nom est pour la première fois, scandé par une foule en délire.
Ne détruisons pas Terra, n'abandonnons pas Mortifia. Œuvrons ensemble pour un monde meilleur et terrassons ceux qui veulent nous faire taire. Terrassons ceux qui nous disent que nous bannis, alors que nous sommes tous autant les uns que les autres, les héritiers du monde ! Alors, joignez-vous à moi, soyons extraordinaire ensembles.
Je relâche enfin toute la pression accumulée lorsque mon discours s'achève et je me sens infiniment libre d'avoir pu mettre des mots sur mes pensées. Thaor avait raison sur un point, nous ne devons pas nous opposer, mais nous rassembler et sauver ceux qui peuvent l'être.
Michael Brown s'empare du microphone et me sourit.
Alors, voyons si tu garderas espoir même dans la mort, Rey prayer.
J'ai à peine le temps d'esquiver l'épée qu'il lance droit sur moi. Me voilà lancer dans un combat à mort.
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
Je roule au sol pour éviter la quantité de couteaux lancés dans ma direction par Michael Brown. Je roule jusqu'à tomber dans l'eau, mais j'en ressors aussitôt. J'esquive en courant il n'en démords pas. Je ne suis pas faites pour le corps et à corps et si je le laisse s'approcher d'avantage de moi, je risque de finir écraser.
Je cours sur le mur de l'arène et je saute en arrière pour pouvoir me retrouver derrière mon adversaire. Je le frappe violemment dans le dos, le déséquilibrant et je roule au sol pour lui faire perdre l'équilibre de ses pieds. Il tombe au sol et je dégaine mon arc. Il tire alors sur ma jambe et je m'écrase à nouveau dans l'eau. Il bondit sur moi, prêt à en finir le plus tôt possible.
Il tente de me noyer, de m'empêcher de remonter, mais je trouve une trappe qui permet de rejoindre un autre bassin. Je m'y faufile et je brandis mon arc, j'encoche ma flèche et je tire dans sa direction. La flèche se loge directement dans son épaule et je réceptionne sur mes deux pieds. Je cours droit vers le centre de la piste mais je manque d'attention durant une fraction de seconde et un dague se glisse jusqu'à moi. Elle entaille violemment mon front et je m'écroule dos au sol. Michael Brown se rue sur moi et pose son couteau sur ma gorge alors que mon arc est beaucoup trop loin pour que je m'en approche.
Je te l'ai dis, Rey Prayer, tu mourras avec ton optimisme. Tu mourras pauvre. Pas aujourd'hui, je grogne.
Je frappe violemment la tête de mon adversaire avec un cailloux et il s'écroule à mes côtés. Je rampe pour arriver jusqu'à mon arc, mais je suis attirée en arrière. Mes jambes et mes bras quittent le sol et je suis violemment expulsée contre un mur. Je hurle ma douleur lorsque mon corps tout entier subit des fractures incalculables. Je gémis, je traine au sol. Cet homme veut me tuer.
Il se jette alors vers moi mais je n'ai pas le temps de l'éviter. Il se laisse tomber de tout son corps sur le mien, s'utilisant comme une arme alors que je ne peux m'empêcher de geindre ma douleur. Tout commence à devenir flou autour de moi et je crois même voir Thaor dans les tribunes. J'imagine que c'est une hallucination, mais je me sens confortée dans l'idée que je vais peut-être mourir, en le voyant une dernière fois. Seulement, je ne veux pas mourir.
Je tends mon bras jusqu'à ma botte, utilisant mes dernières forces et je dégaine brusquement la dague avec la tête de dragon. Je plante fermement mon adversaire au niveau du dos et il se recule aussitôt. Je rampe et je me dégage de son champ d'attraction. Je récupère alors mon arc et je me dresse fermement sur lui, ma jambe sur son thorax, la flèche encocher droit sur son visage.
Je suis à bout de souffle et il n'y a pas un seul endroit de mon corps où je n'ai pas mal mais ce n'est pas pour autant que je suis prête à perdre aujourd'hui mon humanité. En quoi serais-je différente des anges si j’abattais ce type, de cette manière ? Le public retient son souffle, quand tout à coup, je jette mon arc et mes flèches au sol.
Vous avez perdu, Michael Brown, dis-je fermement. Je ne vous tuerais pas, pas aujourd'hui. C'est ce qui me différencie des anges, contrairement à vous. Partez, quittez Mortifia et ne revenez plus jamais.
Il ne peut pas se relever parce qu'il a beaucoup trop mal au reste de son corps. Deux gardes le relèvent et e trainent à l'extérieur de l'arène. Je m'écroule, genoux à terre alors que le public crie mon nom. La douleur dans mon corps est moins puissante de minute en minute, mais je suis épuisée et blessée et je n'arrive pas à me relever.
Je me laisse tomber dos sur le sable et je regarde le ciel droit devant moi alors que mes yeux luttent pour ne pas se fermer.
Cela faisait 3 jours que je tournais en rond dans Mortifia, 3 jours que Rey est partie, elle sait qu'elle n'arrivera a rien sans mon aide et que séparément on se fait plus de mal que lorsqu'on est ensemble. Je continuais de marcher dans les rues de Mortifia, fatigué parce mois à Terra pour venir sauver la personne que j'aime avec qu'elle ne me lâche simplement pour se venger plutôt que de faire changer les Anges. Tuer n'a jamais rien résolu, la vengeance non plus, mais Rey ne veut rien entendre sur ça, même ma solution ne semble pas l'intéresser, elle n'a même pas voulu l'entendre, savoir ce que je pouvais faire. Elle agit comme les Anges veulent, comme une guerrière, mais elle ne se doute de rien.
Je suis soudainement attiré par un bruit de foule, je m'avance d'une grande structure, et arrive à l'entrée d'une arène, je ne m'avance pas au centre, je vois un homme transporté par deux gardes de la ville et aperçois non loin Rey s'effondrant au sol, elle avait mit à exécution son plan perdu d'avance. Elle va se jeter une nouvelle fois dans la gueule du loup et je ne pourrais rien faire pour elle cette fois.
Je décide finalement d'entrer dans l’arène, je m'avance vers elle le public ne donnant plus aucun signe de vie, le silence régnait alors que je m'avançais auprès de Rey.
Alors tu l'as fait. Tu as mis à exécution ce pourquoi les Anges ton programmés, la mort d'une ville entière conduite par la fille de seconde génération. Ils l'avaient écrit dans ton dossier, ils savaient que tu le ferais malgré tout ce que je pouvais te dire pour t'en dissuader. Alors que j'ai une solution définitive et non létale, toi tu as décidé d'envoyer au casse-pipe ces pauvres gens.
Je regarde Rey, elle fuit mon regard devant mes paroles, je sais plus de choses qu'elle ne le pense, je sais comment rendre aux Anges les pensées humaines qu'ils avaient avant les expérience du gouvernement. Je savais comment rendre à Rey sa part d'humanité perdue.
Elle peine à se relever mais y arrive et me tire hors de l'Arène dans une pièce où sont entreposés les armes et armures. Je l'observe durant un moment à enlever l'armure qu'elle portait, ses blessures, sa fatigue, je ne lui ai pas offert des soins ni la possibilité avec une agilité accrue pour qu'elle l'utilise à mauvaise escient.
J'ai passé 1 mois à t'attendre, à attendre ce moment où je reverrais cette lueur dans t'es yeux, cette amour que j'avais trouvé en toi. L'amour que tu avais pour moi. Que s'est-il passé pour que tu me renie à ce point, pour que tu ne veuilles pas écouter ce que j'ai à te dire. Ce que j'ai trouvé, et qui permettrait aux Anges de redevenir humains. La guerre ne résout rien, la guerre engendre la guerre, la guerre... la guerre ne meurt jamais, elle perdure et recommence toujours. Lorsqu'on prend la voie de la guerre, on oublie ce qu'est la paix, celle que tu veux tant instaurer, mais en faisant la guerre, ne t'éloignes-tu pas de la paix ?
Je m’essouffle par la fatigue, ces 3 jours sans dormir et à réfléchir m'ont épuisés, je m'assois sur un banc avec la fatigue, on entend mon corps littéralement tomber sur le banc mais je me force à rester éveillé et à tenir bon.
Tout ce que j'ai fais jusqu'à présent c'était pour elle, il est temps qu'elle s'en rende compte. Il est temps qu'elle comprenne que ce n'est pas elle qui parle, mais l'Ange qui fait partit d'elle qui la force à vouloir emmener Mortifia à la mort.
Avec la fatigue, des larmes ruissellent sur mes joues, je n'arrive plus à tenir mais je me force à rester éveillé et fort pour elle, pour qu'elle puisse vivre.
Depuis notre rencontre je m'efforce de t'aider, je t'ai offert la survie, puis la vie, puis al force de vivre, je veux t'offrir l'immortalité à mes côtés, mais ta réponse a été non, alors à quoi bon t'aider si tu ne veux pas de mon aide alors que tu sais que seul ensemble nous arrivons à survivre et séparément nous n'y arrivons pas. La preuve, j'ai fini ici perdu dans ce monde dévasté par la guerre, cette fameuse guerre que tu veux relancer, et toi tu as finis dans les mains des Anges, et je suis allé te chercher, j'y suis allé ! Je ne veux pas te perdre une seconde fois.
Mon souffle est plus fort, la pièce tourne sous mes pieds, la fatigue me gagne peu à peu, tous ce que je voulais c'était résonner Rey, lui montrer qu'elle a perdu le contrôle sur elle même, sur la Rey que j'ai connu, la vraie battante que j'avais rencontré, et pas le robot qu'elle est devenue depuis son retour de Terra. Ma Rey, la Rey pour qui mon cœur s'est lié, la Rey pour qui je veux offrir une vie éternelle et un amour infini, et pour qui je me battrais pour la garder en vie.
THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix
THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
Chaque muscle de mon corps peine à suivre les mouvements du fantôme que je crois voir. Je le regarde durant de longues minutes et je quitte l'arène à ses côtés. Nous restons seuls tous les deux, parce qu'il est grand temps que nous ayons une conversation. Il est épuisé, tout comme moi, mais la fatigue psychologique le ronge de l'intérieur. Si je m'écoutais, je le laisserais ici, seul et je continuerais mon chemin. Seulement, je n'ai pas envie d'écouter cet esprit revanchard qui gronde en moi. Je laisse parler mon cœur.
Je m'avance jusqu'à Thaor alors qu'il est assit sur son banc. Je glisse ma main dans ses cheveux et je glisse son visage contre moi. Je caresse ses cheveux d'une de mes mains alors que l'autre effleure timidement son épaule. Je reste silencieuse pendant de longues secondes car les mots me manquent.
Tu ne me comprends toujours pas, je soupire.
Je m'abaisse à son niveau et je prends son visage entre mes mains.
Je ne veux pas la guerre, Thaor. Tu n'as certainement pas écouter mon discours, mais je n'y parle pas de guerre, ni de haine. Ce que je veux, c'est la paix, c'est l'espoir, c'est l'amour. Je n'attaquerai pas Terra.
Je bloque son visage entre mes deux mains et j'ancre son regard dans le mien.
J'ai compris ce que tu voulais dire en parlant de paix, lui dis-je. Je ne veux pas détruire ni Terra, ni les anges, je veux faire équipe avec toi et les aider. Je veux arrêter Hans Pain et je crois en le fait que chaque ange mérite de retrouver son humanité.
Je pose mon front contre le sien.
Je ne suis pas née pour détruire ou pour engendrer la guerre, je murmure. Regarde-moi, Thaor. Il n'y aura pas de guerre ni de ravage. J'ai proposé à cette ville d'avoir de quoi manger, de quoi boire, de quoi vivre. Je ne leur ai pas proposé la guerre ou la haine, je leur ai proposé l'espoir ou l'amour. Si j'avais voulu mener une guerre, j'aurais tué Michael Brown. Je ne l'ai pas fait, parce que je ne veux pas engendrer la colère ou la haine.
Je me relève et je le tire vers moi pour qu'il se lève à son tour. Je le regarde durant de longues minutes, mais il est vrai que je peine à soutenir son regard parce que je suis littéralement épuisée.
Ce que je veux, je le veux avec toi. Je me fiche de Terra, je me fiche de ce que le monde veut faire de Mortifia. C'est chez moi ici, nous nous sommes rencontrés parce que ces gens m'ont sauvé la vie. Je leur dois la vie, le bonheur, l'espoir. Je veux faire de cette ville un endroit où les gens auront envie de vivre, d'avoir des enfants. C'est tout ce que je veux, Thaor.
Je me sens littéralement aspirée par la fatigue et la détresse mais j'ai encore besoin de tenir le coup. Thaor doit comprendre que mon but n'est pas la guerre et que peu importe ce qui se passe ailleurs, Mortifia doit devenir une ville de paix, d'amour et de bonheur. Peu importe que tous ici aient été rejeté ou malmenés dans la vie, ils ont droit à leur part de joie.
Je ne veux pas vivre ici, je soupire. Je veux actionner le changement et aider ces gens à croire qu'ils ne sont que des rejetés de Terra. Mortifia a droit à son heure de paix que je veux lui accorder. Ensuite, je partirai.
Je m'accroche à sa chemise parce que je sens que le sol se dérobe sous mes pieds et je n'en ai pas terminé. Je ne peux pas tomber avant d'avoir dit tout ce que j'avais à dire.
Je veux vivre avec toi, dis-je tout bas. Le temps que tu le voudras, l'éternité que tu désireras car pour moi il n'y a rien d'autres qui compte, pas même l'argent, ni la guerre, ni la vengeance. Il n'y a que...Toi.
Je me laisse glisser alors que je tends la main vers le mur pour me rattraper.
J'use de mes dernières force pour aider Rey à marcher. Nous sortons de la pièces, un garde nous vois nous entre aidant à avancer. Il vient nous aider et nous ouvre les appartements de l'ancien chef. Nous entrons et pouvons observer directement la richesse qu'il pouvait y avoir dans cet appartement.
Mais comment c'est possible d'amasser autant de choses et de laisser ces gens vivre comme j'ai vu. Même me médecin qui ma recueillit 1 nuit ici avait rien pour vivre.
Rey part s'assoir sur le grand canapé qu'il y avait, en essayant de la suivre, je m'effondre au sol et perd connaissance. Ce n'est qu'un perte de connaissance rapide, car je reprend rapidement mes esprit et rampe jusqu'à Rey, je grimpe difficilement à côté d'elle. Nous nous observons un moment mais avant de pouvoir dire quelque chose, je sens le corps de Rey plonger sur moi m'emmenant avec sa chute dans les méandre du sommeil. Là où les rêves en sont plus beau, et le temps s'écoule plus vite.
Je ne sais pas combien de temps j'ai dormis, j'avais perdu le nord et le sud, l'heure qu'il était lorsque j'ai retrouvé Rey, la seule personne avec qui je voulais être. Puis je me réveil subitement, l'horloge affichait 10h du matin, Rey était encore endormie contre moi, elle me serait dans ses bras, en rêvant elle avait dû bouger.
Je me redresse difficilement, j'ai mal à tous les muscles, mal au dos, au ventre, aux jambes, aux bras et un mal de tête comme si j'avais reçu un coup. En me redressant je positionne Rey d'une meilleur manière pour qu'elle puisse mieux dormir. Je caresse sa chevelure, descendant le long de son bras. Puis je murmure quelques mots profitant de son sommeil.
Si tu savais à quel point je t'aime, à quel point je suis capable d'aller pour te protéger malgré tout. Je rêve tous les jours du moment où nous pourrons partir loin d'ici, en terre inconnue.
Là où les derniers satellites en orbites montraient qu'il n'y avait plus aucun signe de vie, ni de radiation. Là où la forêt est dense, où personne n'y est allé en 200 ans d'observation avant que le matériel cesse d'émettre. Mais pour y aller il faut traverser ce désert, il est grand, je dirais 5 jours de marche, mais une fois arrivé, nous serons libres, enfin LIBRES...
Je me laisse vaquer à mes rêves en attendant que Rey se réveille. J'observe ce luxueux appartement mais j'en reste dégoutté de voir qu'ici est le seul endroit dans toute la ville à contenir autant de richesse. Comment un homme se proclamant dirigeant peut-il à ce point être égoïste. Il a bien fallu qu'il vivre à Terra pour comprendre en venant ici que tous le monde était pauvre. Mais j'en observe pas la même chose, seulement un Ange banni égoïste, cela devait être un trait de sentimentalisme plus poussé chez lui, mais ne l'ayant jamais vu, je ne peux pas trop en juger à par ce que je vois.
THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix
THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
Je suis si fatiguée, si lessivée, si vidée. Nous réussissons à gagner l'appartement et je dors, durant des heures, des jours, je n'en sais rien. Je me sens ailleurs, flottant dans mes rêves, rêvant de choses dont je n'oserais même pas penser. Je m'imagine en paix, loin d'ici, dans les bras de la seule personne sachant apaiser ma colère parfois si robuste.
Au petit matin, je m'éveille difficilement, réalisant que je me trouve dans mes nouveaux appartements. Je balaye la pièce du regard avec indignation et je pose alors les yeux sur Thaor. Il est toujours là et n'a pas fuis, je lui souris timidement.
Bonjour, lui dis-je d'un demi sourire.
Je me redresse tant bien que mal, j'ai des courbatures un peu partout. Je grimace mais je réussis à me lever. J'observe cette pièce qui n'est une parmi tant d'autres. Je toise Thaor du regard.
Ne bouge pas, je soupire.
J'appelle le premier garde que j'aperçois en dehors de cette grande chambre et il vient jusqu'à moi. Je croise les bras et je l'observe.
Gardien, prenez tout ce que vous verrez dans toutes les pièces de ce palais qui ne mérite pas de l'être. Vendez-les et entassez l'argent dans une grue. Pourquoi une grue, madame ? Pour lâcher l'argent sur Mortifia. Plus d'objets de valeurs, le minimum servira. Et pour votre chambre, madame ? Changez le mobilier, je n'ai pas besoin d'un lit en or. Préparez des meubles en bois.
Le garde s'active aussitôt et se lance avec d'autres gardes dans la fouille de toutes les pièces. J'adresse néanmoins un dernier regard vers le garde.
Laissez-moi seule quelques heures, je viderais moi-même la pièce.
Il hoche la tête en guise d'approbation et je ferme la porte. Je me tourne face à Thaor. Je l'aide à se relever et je le pose sur le lit. Il a besoin de se reposer un peu plus, même s'il semble vouloir prouver le contraire. Je m'allonge à côté de lui et je pose mon regard sur lui.
Je n'arrive pas à croire que cet homme était si riche, je murmure. J'ai vécu toute mon enfance et mon adolescence ici, dans la misère. C'est horrible.
Je pose timidement le bout de mes doigts sur le visage de Thaor.
Tu m'as manqué, Thaor. J'ai cru que le vide dans mon cœur ne cesserait de me ronger.
Je baisse les yeux, boudant notre temps passé à se faire la gueule.
Je suis Rey dans la chambre et je m'allonge sur le lit. Elle se pose face à moi et laisse glisser ses doigts sur mon visage. Après son départ on ne s'est pas vu depuis 3 jours, elle m'avait beaucoup manqué, et il semblerait que je lui ai également manqué. Je passe mon bras autour d'elle et l'approche de moi, après cette nuit de sommeil je me sentais mieux.
Un mois sans toi puis 3 jours après que tu sois partit je n'ai pas arrêté de penser à toi, ça a commencé dès ton départ du bunker, comme si tu hantais mon esprit. Je ne saurais expliquer à part peut être l'amour, le vrai ? Qu'en penses-tu ?
Elle se colle contre moi et reste silencieuse, je caresse son dos, profitant que nous soyons enfin ensembles, que je puisse enfin être vraiment avec elle. Je dépose un baiser sur son front et caresse sa longue chevelure.
Je me sentais bien avec Rey proche de moi, je ne voulais pas que ce moment se termine, mais qu'il dure encore. Que cet instant nous permette de vraiment nous rapprocher et non de continuer cet éloignement qui s'était commencé.
J'ai envie de rester avec toi, de ne plus jamais être séparé de toi, que ce soit par les Anges, par les Bannis ou même les Humains, que rien de cela nous sépare. Je t'aime trop pour ça, je n'en survivrais pas plus.
Je reste un long moment à la regarder, comme si je redécouvrait Rey, comme si nous étions à notre première rencontre mais différente de la première que nous avions vécu.
THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix
THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.
Messages : 328
Sujets : 78
Inscription : Mar 2016
Titre(s): Rebelle au grand coeur.
Date de naissance: 21/12/1229
Quelle espèce êtes-vous ?: Hybride
Biographie: Rey est une jeune femme positive et une éternelle optimiste. Pourtant, sous son sourire se dissimule une personne ayant vécu de terribles épreuves comme l'abandon, le rejet et le génocide de son village d'adoption. Sous ce petit visage souriant, se dissimule un appétit féroce pour la vengeance et des émotions toujours plus contradictoires entre son altruisme, sa tolérance, et sa rancœur envers l'humanité.
Lieu d'habitation: Arakis
Votre petite tête: Hauts faits :
Nous nous regardons intensément Thaor et moi, comme si nous nous découvrions à nouveau, comme si chaque minute semblait pouvoir durer une éternité. Nous restons allongés sur ce lit, des heures durant, parfois sans un mot, parfois par de simples phrases qui veulent dire tellement pour nous deux. Je lui souris lorsque quelque chose me vient à l'esprit et je mordille mes lèvres.
J'aimerais poser une condition au fait que je te rejoigne dans l'éternité, je murmure.
Thaor est étonné, mais ma condition est si drôle, si confuse, si identique à ce que je suis. Je me lève du lit et je ferme les rideaux pour que nous puissions nous retrouver tous les deux dans la pénombre. Je verrouille la porte et je m'avance vers Thaor, comme si les mètres nous séparant étaient des kilomètres. Je prends la main de Thaor et je souris.
Je n'aurais pas du naître dans ce siècle, je souris. Je me sens comme si j'étais trop vieille pour ce monde, ou comme si je ferais mieux de remballer mes vieilles traditions, mais...
Je me laisse tomber sur le lit et je m'allonge sur le dos. Je pose ma main sur la joue de Thaor.
Je voudrais que l'on se marie, je murmure. Si nous devons passer l'éternité ensemble, j'aimerais que nous fassions les choses dans les règles de l'art.
Je me redresse sur mes coudes et je caresse la joue de Thaor.
Nous n'avons jamais osé parler de futur, toi et moi. Nous avons vécu au jour le jour, pensant parfois à nos rêves de voyages, pensant parfois à ce que serait possible si nous étions tous les deux des êtres dont le temps ne compte pas. Le temps a toujours compté pour moi, Thaor.
Je baisse les yeux et je m'assoie en tailleur sur le lit.
Je n'ai jamais songé à vivre bien longtemps, je soupire. Je pensais mourir jeune car je n'avais aucune chance de m'en sortir en étant différente. Tu as transformé ma vie dès l'instant où je t'ai vu dans ce bunker, dès l'instant où j'ai brandis mon arme sur toi. Ce jour-là, j'ai su que tout serait différent et qu'il m'était impossible de faire marche arrière. J'ai essayé de ne pas avoir peur, j'ai essayé de ne pas m'emballer mais c'était trop tard, Thaor. Je ne veux pas être comme toi parce que tu me le demandes, je le veux, parce que c'est ce que j'ai choisi.
J'ancre mon regard dans le sien et je pose mon front contre le sien.
Je veux faire une éternité entière à tes côtés, je murmure.
Je dépose un baiser léger sur ses lèvres et je le regarde à nouveau, je lui souris.
Rey calfeutre la pièce où nous nous trouvons. Je ne comprend pas ce qu'elle fait, puis en revenant elle m'annonce accepter l'éternité mais à la condition que nous nous marions. Cela me parait une bonne idée, nous unir d'une manière publique, même si je me sens très partant sur cette idée, je ne vois pas ce qui me ferais refuser.
Pour l'éternité à tes côtés...
Dis-je d'un murmure, avant le l'embrasser rattrapant ce mois perdu par cette séparation. Je sens son bras me tirer et elle se met par dessus moi, nos corps l'un contre l'autre, continuant à m'embrasser. Son regard questionneur attendais ma réponse, comme si il disait, "Alors ? C'est oui ?", elle s'arrête et m'observe, toujours ce même regard.
C'est oui, pour notre amour, et pour ce mariage. Mais faisons ça comme à mon époque au moins pour la demande.
Je me lève du lit et tire Rey vers moi, elle reste debout et moi je me pose sur un genou, je prend sa main et la regarde dans les yeux.
Rey, nous avons peut-être un âge différent, une manière de penser différente, mais nos cœurs se sont liés, c'est pourquoi je m'agenouille devant toi et demande ta main, acceptes-tu de devenir mon épouse.
Je la voyais rougir devant ma façon de faire, les anciennes méthodes ne devaient plus être utilisés de nos jours, mais je vis avec mon temps passé pour beaucoup de choses, et pour rien au monde j'en changerais, et je pense que Rey qui aime lire et apprendre du passé, voudra toujours que je garde cette part en moi.
Je restais silencieux, attendant son oui. Mon sentais mon cœur tremblant et essayais de percevoir celui de ma bien aimée. Mais le bruit que faisais le miens m'en empêchait. Je l'observe, je garde mon regard fixé à ses yeux à la personne que je désirais et dont j'aspirais vivre pour toujours avec.
THAOR
La guerre engendre la guerre, elle ne crée pas la paix
THAOR
La science est une étude, mais l'humain est une science.