Confidences à deux.

[Zendrerth Amdril]

Confidences à deux
Avec : Aelita J. Krow

Nous continuons de nous entre-lasser et de nous embrasser. Profitant à chaque instant de cette tranquillité que nous avions. Nous ressemblions plus à un couple qu'à deux amis, mais il doit être vrai quelque part que notre liaison était plus d'amicale.
Je nous retourne et passe au dessus d'Aelita qui se met à rire.

Qui a-t-il de si drôle ?, dis-je en murmurant.

Je lui dépose de tout petit baiser dans son cou en redescendant jusqu'à l'épaule, puis je l'embrasse de nouveau.
Notre petit moment à nous embrasser fut perturbé par un bruit fracassant. Deux coup, trois coups, deux coups, c'était un de mes collègue qui venait me donner des informations.

Surtout tu ne bouge pas de là, je reviens, ne fait aucun bruit.

Je me dépêche d'aller ouvrir pour savoir ce qu'il y avait. Deux de mes collègues étaient à la porte.

Oui ? Que ce passe-t-il ?, dis-je d'un air étonné.
On diffuse des avis de recherche à la demande du chef, je pense que le nom de sera familier, la fille de la personne qui nous a foutu dans se trou a disparu. Tiens voilà la fiche.
Il était énervé quand il a demandé à notre chef de faire paraitre l'avis ?
Non comme d'habitude, froid et non émotif, ça n'avait pas l'air de l'affoler.
Très bien, je garde cette feuille, ça me sera peut-être utile quand je reprendrais, la garde, à plus tard les gars.

Je ferme la porte à double tour et retour auprès d'Aelita, je sentais qu'elle était effrayée à l'idée que je puisse changer d'avis et finalement la livrer à son père pour obtenir une récompense. Mais loin de là l'idée, j'avais trop de sentiments pour elle pour faire ce genre de chose.

Toute la ville sait que tu as disparu, il va falloir faire dans la discrétion demain, ne t'inquiète pas, je ne te livrerais pas, disons que je tiens beaucoup trop à toi pour faire ce genre de chose, et je suis sur que tu comprends mon refus de te livrer à ton père. Comme tu le dis, profitons de cet instant présent entre nous deux, profitons en au maximum possible s'il le faut, et si tu le veux bien.

Je dégage l'une de ses mèches folles en même temps que je finissait ma phrase. Je la fixe du regard et profite un maximum de ce moment pour l'observer. Attendant de connaitre le fond de sa pensée et de ses envies encore très changeantes car elle ne contrôle pas totalement sa nouvelle identités.

© Theodor